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 Association Pour l'Education et la Culture Islamique et le Développement Social

Déclaration - Libération des homos partouzards de Mbao : Victoire (provisoire) du mensonge et de l’hypocrisie !

23 Avril 2009 , Rédigé par APECIS Publié dans #News

Parce que les enquêteurs avaient interpellés les « pédés » partouzards de Mbao « à une heure non légale », et avaient procédé, sur les lieux, à la saisie de supports pornographiques « sans mandat de perquisition », voilà que, en un tour de passe-passe, huit pervers, vecteurs par excellence de la propagation du Sida (21% de taux de prévalence, d’après le ministère de la Santé), se retrouvent dans la nature, libre comme l’air ! C’est-à-dire plus que jamais dans leur peau de contre-exemples pour la jeunesse, et de menace permanente pour la santé publique. « Dura lex sed lex » ?
Déclaration - Libération des homos partouzards de Mbao : Victoire (provisoire) du mensonge et de l’hypocrisie ! « Une vice de forme » qui, incontestablement, aura bien semé le doute dans beaucoup d’esprit, mais qui, pour autant, n’entamera pas d’un iota la détermination des hommes et des femmes de bonne volonté qui ont à cœur la défense de l’équilibre moral et de la santé mental de la frange la plus fragile de notre société, à savoir la Jeunesse.

« Une vice de forme » qui ne changera en rien aux inébranlables convictions des hommes de foi dans les textes sacrés des religions monothéistes, toutes unanimes à bannir sans équivoque cette pratique contre-nature. Qu’il s’agisse du Saint-Coran, où le Seigneur met en garde (« Les Murailles », sourate 7) sur les conséquences de cette pratique « bestiale et avilissante », ou de l’Ancien Testament qui se singularise par une condamnation sans équivoque de l’homosexualité, en considérant cette « abomination » comme « l’œuvre d’un peuple pervers » (18.22).

Soutenus par des bras-longs sans visage, les homos partouzards de Mbao viennent de narguer notre justice, du fait du malheur bâclage d’un dossier, qui constituait une occasion rêvée de faire comprendre aux activistes de la Métropole que le Sénégal n’est pas prêt de se laisser mener au pas, dans le fonctionnement de sa justice souveraine. Et c’est bien malheureux que le dénouement obscur de cette non moins sombre affaire puisse donner l’impression que c’est « l’inadmissible ingérence de la France » qui aura fait ses effets, particulièrement le trafic d’influence d’un célèbre maire français homosexuel.

Et pourtant Dieu sait que JAMRA a toujours eu un préjugé favorable, dans l’intégrité des juges qui avaient en charge cette affaire. Ils auront été intraitables et patriotes jusqu’au bout. Avant d’être « piégés » par de vicieux avocats, dans les labyrinthes d’un dossier d’enquête mal ficelé. Que cela soit donc clair : nos vaillants juges n’ont pas disculpé les homos partouzards de Mbao. Loin de là ! Ils se sont retrouvés les mains liées, du fait de la ténuité des procès-verbaux versés au dossier.

Les subsides infectes d’organisations pan-européennes, regroupant des richissimes du monde des arts, de la culture et même de la politique, ne devraient pour rien au monde donner droit de cité à la promotion, sur notre sol, de cette pratique dégradante, considéré, jusqu’en 1991, par l’Oms, comme une maladie mentale, et qui fait aujourd’hui l’objet de sanctions pénales dans l’immense majorité des pays africains (38 sur 53 pays).

La vigilance doit donc rester de mise, car les promoteurs de la maudite déclaration du 23 décembre 2008 – qui, mine de rien, a déjà recueilli au plan international les signatures de 66 pays (sur les 192 que comptent l’Onu) - ne manqueront pas de bomber le torse, après ce qui vient de se passer lundi dernier au Temple de Thémis de Dakar. Et de nourrir un nouvel optimisme, dans leur recherche effrénée du « quorum » nécessaire à l’aval de l’organisation onusienne, devant consacrer la convention portant « dépénalisation universelle de l’homosexualité ». Elargissant ainsi la voie au mariage légal d’individus du même sexe, et à son inévitable corolaire, le droit d’adoption d’enfants, lesquels se verront arbitrairement imposés des papas « homme » et des mamans également « homme ». Une regrettable dégradation des mœurs dont les conséquences psychologiques ont déjà traumatisé une génération d’enfants, injustement sacrifiés sur l’autel du vice et du libertinage.

Par devoir de vigilance, JAMRA invite donc tous les Imams, les Oulémas et Prédicateurs du Sénégal à consacrer leurs sermons de vendredi prochain à cette scandaleuse libération des homos partouzards de Mbao, et exiger une plus grande rigueur de l’Etat dans la protection morale de notre Jeunesse ; et contre les agressions multiformes dont l’Islam est depuis quelques temps l’objet dans notre pays, fort de ses 95% d’adeptes.

La Presse est invitée ce vendredi 24 avril 2009, à la Mosquée de la Cité Gazelle de Pikine, où l’Imam Massamba Diop y délivrera un sermon spécial.

Dakar, le 22 avril 2009

Pour l’Organisation Islamique JAMRA
Imam Massamba DIOP
Le Président Exécutif
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